Réalisé dans le cadre de l’EDEC Eco-Prospective 2020-2022, signé avec l’Etat,
le portail prospectif du commerce est une plateforme digitale de data visualisation
qui rassemble sur un seul site des données, tant quantitatives que qualitatives,
sur la transformation des métiers, l’évolution des compétences, les perspectives
d’emploi et les parcours de formation proposés dans le commerce.
Les trois objectifs du Portail prospectif
du commerce
Le Portail prospectif du commerce a été conçu pour répondre à trois objectifs :
Les sources de données internes et externes du Portail prospectif du commerce
Pour construire des indicateurs clés pertinents,
le portail collecte et agrège de multiples sources
de données internes et externes, parmi lesquelles :
l’Opcommerce, l’Observatoire prospectif du commerce,
les observatoires des 20 branches professionnelles
du commerce, l’Insee, Pôle emploi, la Dares.
Un explorateur de données pour dresser un portrait du secteur du commerce
Le portail propose plusieurs outils innovants pour aider
les utilisateurs dans leurs recherches, leur prise
de décision et les actions susceptibles d’être mises en
place. Un explorateur de données permet de dresser un
portrait du secteur en quatre dimensions : les données
chiffrées ; les métiers ; les études ; les certifications.
Par ailleurs, un outil dédié à la mobilité professionnelle
permet d’identifier les passerelles entre deux métiers
et d’évaluer les écarts pour passer de l’un à l’autre.
Parcours utilisateurs
Dans sa version actuelle, le portail propose 5 parcours
utilisateurs : Entreprises, Branches professionnelles,
Partenaires, Institutionnels, Particuliers.
Une étude identifie six thématiques
prioritaires pour les entreprises
du commerce
Mesurer l’impact de la transition écologique sur les métiers et les compétences des entreprises du commerce d’ici à 2025 : telle est l’ambition de l’étude initiée par l’Observatoire prospectif du commerce, à la demande de 16 branches professionnelles représentant 73 000 entreprises, dans le cadre de l’EDEC (Engagement Développement et Compétences) Eco-Prospective signé avec l’Etat en février 2020. Réalisée par les cabinets Auxilia et In Numeri, l’étude*, qui a été conduite de juin 2020 à avril 2021, met en évidence six thématiques prioritaires liées à la transition écologique pour les entreprises du commerce :
* Enquête multi souscripteurs du CREDOC sur les Tendances de consommation réalisée par Internet en juin-juillet 2020 auprès de 2000 individus âgés de 18 ans et plus avec suivi de quotas (âge, sexe, type de famille, CSP, taille unité urbaine, 8 régions, niveau de diplôme).
Bricolage - Commerce à distance - Commerce à prédominance alimentaire (détail et gros) - Commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie - Commerce de détail des fruits et légumes, épicerie et produits laitiers - Commerce succursaliste de la chaussure - Commerce succursaliste de l’habillement - Commerces de Détail Non Alimentaires - Commerces et services de l’audiovisuel, de l’électronique et de l’équipement ménager - Entreprises de distribution, importation, exportation en chaussures, jouets, textiles et mercerie - Entreprises de la filière Sports-Loisirs - Grands magasins et Magasins populaires - Jardineries et graineteries - Optique-lunetterie de détail - Papeterie et fournitures informatiques - Professions de la photographie.
Note d’impact sur 10
Plus instructif encore, la note d’impact sur 10 attribuée
à chacune de ces thématiques par les commerçants
interrogés. Arrivent ainsi dans le trio de tête, la gestion
des déchets (6,2), la logistique écologique (5,7) et
l’approvisionnement local (5,6), suivis de la durabilité
des produits (5), le faire soi-même (4,8), la seconde
main (3,5).
L’étude passe également 19 métiers représentatifs
du commerce au tamis de la transition écologique :
en quoi les compétences évolueront-elles demain et
en quoi les formations devront-elles intégrer de nouveaux
modules ? Sur la base des réponses, les compétences
les plus stratégiques à développer ont été croisées
avec les métiers représentatifs du commerce.
Top 3 des métiers concernés
Trois métiers sont plus particulièrement concernés
par la transition écologique : boucher/poissonnier,
responsable de magasin, responsable e-commerce.
Et dans le top 3 des compétences les plus attendues,
on trouve : identifier les produits locaux et durables,
maîtriser les réglementations environnementales
et valoriser les produits les plus durables à la vente.
L’impact de la transition écologique se traduit plus
par de nouvelles compétences à acquérir que
par le développement de nouveaux métiers.
Toutefois, quelques métiers ont été identifiés comme
émergents : démonstrateur, responsable économie
circulaire, opérateur de tri, maître composteur,
chef de projets valorisation des invendus, concepteur
d’espace de vente de seconde main, technicien
de réparation.
Monographies et bonnes pratiques
Pour prendre le virage de la transition écologique,
l’étude propose des monographies, branche par
branche, qui permettent d’analyser les impacts
attendus et les modes d’adaptation des possibles,
selon l’activité et la vision de l’avenir. Les pistes
d’action proposées tiennent également compte
de la taille des entreprises.
Plus opérationnel encore, le « Guide des 21 bonnes
pratiques pour un commerce écologique » qui
doit permettre aux entreprises de passer à l’action
sans délai.
EN SAVOIR PLUS
700 entreprises, 800 alternants et plus de 100 centres de formation interrogés.
A la demande de 18 branches professionnelles du commerce, l’Observatoire prospectif du commerce
a confié au cabinet Kyu la réalisation d’une étude visant à identifier les pratiques et les conditions
de développement de l’alternance dans les entreprises du commerce.
Réalisée entre janvier et juin 2021*, cette étude fait ressortir deux points essentiels.
* Etude conduite en deux temps : une première phase quantitative avec 1 600 personnes interrogées via un questionnaire en ligne et une deuxième phase qualitative avec une trentaine d’entretiens d’approfondissement afin d’améliorer le recours à l’alternance sur des emplois clés.
1. L’alternance est une réussite globale pour les branches du commerce
99 % des alternants ont une bonne image de l’alternance dans le secteur du commerce. Les formations en alternance ont un taux d’occupation satisfaisant et les centres de formation sont suffisamment optimistes sur l’avenir pour envisager d’ouvrir de nouvelles formations en alternance.
L’alternance représente un bon levier d’insertion à tous les niveaux de diplômes et permet aux entreprises de se constituer un vivier sur des métiers en tension. En chiffres, ce sont 8 alternants sur 10 qui ont trouvé un premier poste en moins de 3 mois et 64 % des entreprises qui recrutent au moins régulièrement leurs alternants.
2. L’alternance, vue comme utile et efficace, est essentiellement guidée par un grand pragmatisme
Les aides exceptionnelles de l’Etat, ainsi que le faible coût des contrats, ont permis le maintien des postes, voire des recrutements supplémentaires pour 6 % des entreprises interrogées. Ces aides exceptionnelles ont ainsi largement contribué au fort développement de l’alternance en 2020.
Le côté opérationnel séduit un profil de jeunes plus
attirés par l’action ou désireux de s’insérer rapidement
dans le monde du travail. 56 % des alternants
choisissent une formation en alternance pour la
possibilité de suivre une formation concrète et pratique.
La rémunération est le premier levier du choix
de ce dispositif pour 80 % des alternants.
L’étude propose des résultats branche par branche et
des pistes d’action pour développer l’alternance sur des
emplois clés. L’ensemble de ces données est disponible
dans le rapport détaillé téléchargeable ci-contre.
EN SAVOIR PLUS
Bricolage - Commerce à distance - Commerce à prédominance alimentaire (détail et gros) - Commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie - Commerce de détail des fruits et légumes, épicerie, produits laitiers - Commerce succursaliste de l’habillement - Commerce succursaliste de la chaussure - Commerces de Détail Non Alimentaires - Commerces et services de l’audiovisuel, de l’électronique et de l’équipement ménager - Coopératives de consommateurs - Entreprises de distribution, importation, exportation en chaussures, jouets, textiles et mercerie - Entreprises de la filière Sports-Loisirs - Grands magasins et Magasins populaires - Import-Export et commerce international - Jardineries et graineteries - Négoce de l’ameublement - Optique-lunetterie de détail - Papeterie et fournitures informatiques.
Accélération des usages numériques, montée en puissance d’une aspiration à consommer de façon
plus responsable, appétence pour la proximité et le local : dans un contexte de transformation de l’appareil
commercial, l’ObSoCo (L’Observatoire Société & Consommation) a réalisé une étude prospective
sur le Commerce idéal de demain, à la demande des branches professionnelles du commerce.
Cette étude miroir, qui vise à redessiner le commerce
attractif de demain et à anticiper les besoins relatifs aux
compétences et aux métiers, propose 3 regards croisés
entre professionnels du commerce, consommateurs
et experts (universitaires, consultants, journalistes).
L’étude observe, au global, une convergence
de vues, entre les professionnels, les experts et les
consommateurs, concernant les grandes tendances
d’évolution du rapport à la consommation
(réorientations vers le consommer mieux, le local et le
respect de l’environnement ; l’aspiration à consommer
de façon responsable ; l’essor des usages en ligne).
Les professionnels sous-estiment en revanche l’intensité de l’engagement des consommateurs dans des comportements respectueux de l’environnement et leur appétence pour des commerces accessibles à pied ou à vélo, en rapport avec l’essor des mobilités douces en milieu urbain.
On retiendra également la convergence entre les acteurs pour un commerce de l’humain, avec une capacité à apporter de l’accompagnement et du lien social. Sans toutefois négliger l’aspect de désirabilité, de praticité et de surprise pour le consommateur. Dans l’ensemble donc, un enjeu fort sur les compétences comportementales des salariés des branches professionnelles.
Connaître les pratiques des jeunes et de leurs parents en matière de recherche d’information pour
l’orientation du projet professionnel et identifier les canaux de communication appropriés afin d’améliorer
la visibilité des métiers du commerce et leur attractivité. Telle était l’ambition de l’étude lancée début 2021
par l’Observatoire prospectif du commerce, à la demande de 16 branches professionnelles.
Une diversité mal appréhendée
Réalisée par le cabinet Occurrence, l’étude* révèle un paradoxe : 7 jeunes sur 10 se disent intéressés par le commerce, mais ils avouent avoir du mal à appréhender la diversité des métiers proposés. Le commerce étant souvent réduit au métier du vendeur, y compris pour les parents qui sont à peine 51 % à se montrer intéressés (pour leurs enfants) par le secteur.
* Etude conduite sur la base de 6 entretiens avec des professionnels de l’orientation, d’un questionnaire online sur Facebook entre le 24 février et le 3 mars 2021 auprès de 400 jeunes et 200 parents, d’une analyse de 20 supports (sites web, comptes sur les réseaux sociaux...), à l’aide d’une grille comprenant des indicateurs quantitatifs et qualitatifs permettant de hiérarchiser les supports étudiés.
Des jeunes et des parents « désorientés »
Jeunes ou parents, seulement 4 répondants sur 10
estiment que la recherche d’informations sur l’orientation
est « facile » et pour un tiers des répondants,
les recherches n’aboutissent pas !
6 répondants sur 10 estiment qu’il n’y a pas assez
d’information sur l’orientation. Et pour les jeunes
intéressés par le commerce, la recherche est jugée
encore plus difficile.
Une orientation « omnicanale »
Plus on avance en âge, plus on consulte les réseaux
sociaux et moins on fait appel à des conseillers.
Toutefois, les rencontres physiques sont encore
plébiscitées par les jeunes et les parents.
Tout particulièrement, par ceux qui ont une appétence
avérée pour les métiers du commerce.
Les jeunes et les parents sont à la recherche d’exemples,
de « vécu », à travers des témoignages de professionnels
et d’étudiants. Si le format vidéo est de plus en plus
apprécié, les fiches (parcours et métiers) sont également
très prisées, notamment par les parents.
Bricolage - Commerce à distance - Commerce à prédominance alimentaire (détail et gros) - Commerce de détail de l’horlogerie-bijouterie - Commerce de détail des fruits et légumes, épicerie, produits laitiers - Commerce succursaliste de l’habillement - Commerce succursaliste de la chaussure - Commerces de Détail Non Alimentaires - Commerces et services de l’audiovisuel, de l’électronique et de l’équipement ménager - Entreprises de distribution, importation, exportation en chaussures, jouets, textiles et mercerie - Entreprises de la filière Sports-Loisirs - Grands magasins et Magasins populaires - Import-export et commerce international - Jardineries et graineteries - Optique-lunetterie de détail - Papeterie et fournitures informatiques.
A chacun son réseau… social
Les réseaux sociaux sont jugés « importants »
par 1 jeune sur 2 pour rechercher des informations sur
l’orientation. La propension à utiliser les réseaux sociaux
semble corrélée à l’avancée dans le parcours de formation,
pour atteindre plus de 60 % chez les étudiants.
Si Facebook constitue le réseau social le plus utilisé
par les parents, trois réseaux concurrents sont
privilégiés par les jeunes : LinkedIn, YouTube, Instagram.
Toutefois, les jeunes qui ont une appétence pour
le commerce sont significativement plus nombreux
à utiliser LinkedIn !
Perspectives de carrière
Enfin, en termes de contenus, les jeunes recherchent avant tout les perspectives d’évolution, de carrières possibles, tandis que les parents recherchent principalement la sécurité et la facilité à trouver un emploi.
L’Observatoire prospectif du commerce, mandaté par quatorze branches professionnelles du commerce
(Bricolage - Commerce à distance - Commerce à prédominance alimentaire (détail et gros) - Commerce
de détail de l’horlogerie-bijouterie - Commerce succursaliste de la chaussure - Commerce succursaliste
de l’habillement - Entreprises de distribution, importation, exportation en chaussures, jouets, textiles
et mercerie - Entreprises de la filière Sports-Loisirs - Grands magasins et Magasins populaires -
Import-Export et commerce international - Négoce de l’ameublement - Optique-lunetterie de détail -
Papeterie et fournitures informatiques - Professions de la photographie), a lancé courant 2020 une publication sur les métiers du secteur : de la chaîne amont à l’aval.
Cette publication a pour objectif de décrire les principaux métiers du secteur et leurs évolutions face à la transition numérique et au développement durable.
Les portraits réalisés sont disponibles dans le « Zoom métiers » publié par l’Onisep en avril 2022 à destination des jeunes et de leur famille, mais aussi des acteurs de l’orientation scolaire et professionnelle.
20 portraits de salariés illustrant la diversité des formes de commerce et leurs métiers :
« Diagnostic flash » de situation rapide des impacts de la crise sanitaire sur les emplois, compétences et organisations, cofinancé par l’Etat.
2 objectifs
1er constat
2ème constat
Une dynamique de l’emploi tributaire des évolutions de la vente en ligne :
3ème constat
Des transformations des métiers post-COVID envisagées :
LES PLUS POUR LES BRANCHES
La branche a souhaité se doter de vidéos métiers afin de promouvoir les carrières dans le secteur du bricolage.
Afin de travailler sur l’attractivité des métiers, la branche a lancé la réalisation de films de promotion des métiers du secteur :
Horloger, bijoutier, conseiller de vente, adjoint de magasin : des jeunes salariés témoignent sur leur activité professionnelle.
Ces films à destination d’un public jeune seront relayés sur les réseaux sociaux.
La branche a lancé la réalisation de vidéos de présentation des métiers du secteur afin de travailler sur l’attractivité de ses métiers.
Dans le cadre de sa politique emploi-formation, la branche a souhaité réaliser un panorama des emplois, compétences et certifications, qui identifie les emplois présents au sein de la branche, les compétences associées, et met en regard les certifications permettant d’occuper ces emplois.
Dans le cadre de sa politique emploi-formation, la branche a souhaité réaliser un panorama des emplois, compétences et certifications, détaillant en 56 fiches emplois, les activités, les compétences associées et les certifications permettant d’occuper ces emplois.
Dans un contexte économique et sociétal favorisant la consommation raisonnée et la lutte contre le gaspillage, la branche souhaite développer la filière de la réparation au sein de ses entreprises. Depuis plusieurs années, la réparation des appareils a été délaissée au profit d’un remplacement à neuf faisant apparaître une carence en compétences. Face à cette pénurie de salariés qualifiés, la branche a souhaité étudier l’opportunité de créer une certification professionnelle, afin de répondre aux besoins des entreprises.
Dans le cadre de sa stratégie de promotion des métiers, la branche a lancé la réalisation de vidéos métiers sur le périmètre conception/fabrication de la filière. Ces vidéos métiers s’adressent à un public large et font témoigner des salariés en poste : acheteur, chef produit femme, chef produit textile, designer textile, technicien de fixation.
Le projet vise à compléter les résultats de l’étude prospective de 2020 en y intégrant des analyses plus spécifiques sur les activités de la conception et de la fabrication d’articles de sport. Quels facteurs d’évolution, quels impacts métiers et compétences ? Tels sont les objectifs de ce complément d’étude.
Etude d’opportunité pour la construction d’une filière de formations certifiantes pour l’aménagement et la réparation des véhicules de loisirs.
Dans le cadre de leur politique emploi-formation, les
partenaires sociaux de la branche ont souhaité réaliser
une cartographie des emplois et des compétences.
Cette cartographie intègrera les formations certifiantes
qui mènent à ces emplois, pour faciliter entre autres,
le recrutement des alternants.
Des films de promotion du secteur et des carrières dans les jardineries sont en cours de réalisation.
Dans le cadre de sa politique emploi-formation, la branche a souhaité réaliser un panorama des emplois, compétences et certifications, détaillant en 63 fiches emplois, les activités, les compétences et les certifications permettant d’occuper ces emplois.
Cette certification permet de valider les compétences
de professionnels confirmés en matière de conception
de projets de cuisine et d’aménagement intérieur
et de répondre au renforcement croissant des
exigences des clients en matière de décoration.
L’étude d’opportunité vise à mesurer la pertinence
d’une telle certification au regard des évolutions du
marché, des besoins en compétences des entreprises
et des salariés dans le cadre de son potentiel
renouvellement au Répertoire Spécifique de France
compétences, ou d’une autre orientation qui serait
préconisée par le prestataire.
Afin de faire mieux connaître ses métiers et développer leur attractivité auprès des jeunes, la branche a lancé la réalisation de 3 vidéos faisant témoigner de jeunes professionnels sur leur métier de vendeur, concepteurvendeur de cuisine, et chef de rayon, qui seront publiées en ligne et diffusées sur les réseaux sociaux au printemps 2022.
La branche a souhaité se doter d’une fiche emploi à jour détaillant l’ensemble des activités et compétences relevant de l’exercice de l’emploi d’opticien-lunetier.
Dans le cadre de sa politique en GPEC, la branche
a souhaité la réalisation d’un outil en ligne pour aider
les entreprises dans la gestion des compétences
des salariés et des futurs collaborateurs.
Cet outil, plateforme-oben, recense les référentiels
des compétences des emplois de la branche ainsi que
les certifications menant à ces emplois.
Une vidéo promotionnelle de l’outil, à destination
des entreprises, a été réalisée et diffusée sur les
réseaux sociaux.
Des films de promotion des métiers du secteur sont
en cours de réalisation.
Ces films visent un public jeune et seront relayés
sur les réseaux sociaux.
Dans le cadre de son partenariat avec l’ObSoCo,
l’Observatoire prospectif du commerce publie une veille tous les 4 mois sous un format en 3 volets :
1 • Un rapport de veille organisé en 3 parties (évolutions sociétales, implications pour la consommation et le commerce, conséquences pour l’emploi, les métiers et la formation),
2 • Une synthèse opérationnelle,
3 • Une infographie d’une page pour mieux retenir les informations clés.
5 thématiques abordées en 2020-2021 :